Etal du boucher
NOUVEAUTÉ 2020. Découvrez l’étal du Boucher fabriqué en argile et peint à la main. chaque morceau de viande a été modelé individuellement et est placé
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Sur les hauteurs de Marseille, dans le quartier Vauban, à deux pas de Notre-Dame de la Garde, Daniel, Gisèle s’adonnent à leur passion, les santons de Provence ! Anne-Laure, 3° génération, s’est établie plus en profondeur dans la Provence, aux pieds des Alpilles. De leurs mains naissent ces petits personnages, acteurs premiers de la crèche provençale et ambassadeurs miniatures de l’une des plus belles régions de France. Certains coupent la lavande, d’autres pétrissent le pain, vendent des fleurs aux mariés ou pêchent les oursins ; certains affichent leur personnalité alors que d’autres font face à leur handicap ou aléas de la vie. Mais tous reflètent le quotidien d’un village de Provence.
Un peu de terre, de la dextérité dans les doigts, un regard pointu, une dose de patience et beaucoup d’amour et de passion pour personnaliser les santons de Provence !
Rien que des pièces uniques parce que les yeux n’offrent jamais tout à fait la même expression du regard ou parce que les petits pois blancs ne sont jamais dessinés à la même place sur toutes les foulards des dames.
Par magie, les hommes et femmes d’argile modelés nous parlent et suscitent la réflexion. Dans la crèche, chacun a sa place et s’est vu attribuer un rôle qui lui est propre. En amont, dans l’atelier, chaque étape de la confection est importante ; le santonnier ne peut y déroger sous peine de voir son travail détérioré. Plusieurs rituels incontournables, de nombreuses heures de travail et d’attente avant de voire naître ces célèbres petits santons de Provence .
D’ARGILE ET D’AMOUR
L’histoire d’une tradition familiale…
3 Générations de Passion
3 Générations de Tradition
50 ans d’Amour du santons de Provence…
” A vous tous, lecteurs amis des santons de Provence , merci de retrouver votre regard d’enfant en feuilletant ce livre sans prétention qui, à travers ses illustrations, nous permet de vous faire partager notre histoire et les souvenirs de notre métier…”
La tradition de la crèche de Noël remonte à Saint François d’Assisse qui fut le premier, en 1223, à avoir mis en scène la nativité dans son église de Greccio en Italie. La crèche était alors « vivante » ;
habitants du village et animaux se voyaient attribuer un rôle dans la célèbre histoire de la nativité. La tradition s’est ensuite perpétuée et les personnages en bois, en cire, en carton pâte, en faïence et même en verre ont remplacé les «acteurs» très vite lassés de leur rôle. Au 16ème siècle, les premières crèches telles que nous les connaissons aujourd’hui font leur apparition dans les églises.
Après la Révolution Française qui a entraîné la fermeture des églises et la suppression de la messe de minuit, les représentations publiques de la nativité furent discontinues. C’est alors qu’en vue de perpétuer la tradition dans les familles, naissent en Provence de petits personnages, les « santons de Provence » ou « petits saints ». En 1803, peu après le Concordat, la première Foire aux santons de Provence fut inaugurée à Marseille. Depuis 1854, de fin novembre à début janvier, le haut de la Canebière, artère principale de la vieille ville débouchant sur le Vieux port, se pare de multiples santons. Depuis quelques années, les santonniers attirent les adeptes sur la place Charles De Gaulle, la grande place située près du vieux port. Outre les petits santons de Provence peints, des « santons habillés » en costume traditionnel portant chacun les insignes de son métier animent aussi la fête. On peut également y acquérir les accessoires permettant de confectionner le décor traditionnel de la crèche tels l’étable, le puits, le pont, l’étoile, le papier rocher, le papier ciel, la mousse fraîche pour imiter l’herbe, etc, …
NOUVEAUTÉ 2020. Découvrez l’étal du Boucher fabriqué en argile et peint à la main. chaque morceau de viande a été modelé individuellement et est placé
Ce personnage typiquement camarguais veille sur ces taureaux. Gardien de manade, il élève ces bovins pour la viande ou les courses. C’est un cavalier, bien connu en pays d’Arles de Camargue, qui garder le taureaux et conduit les manades. Il est muni d’un trident pour diriger ses bêtes.
Grand amateur des calanques provençales, ce pêcheur d’oursins ne manquera pas d’amener son offrande, aussi surprenante soit elle… Les oursins, mets délectables du sud.
Fontaine de forme demi-lune représentant des pierres de deux couleurs. Contenant une imitation de l’eau.
Cette pièce comprend la cueilleuse, son échelle et l’arbre. Photo non contractuelle